Auteur parmi les plus lus de France, Michel Bussi viendra présenter son dernier roman lors d’une soirée musicale et littéraire au Centre culturel Guy Gambu le 4 avril.

De quoi sera-t-il question lors de cette rencontre organisée en partenariat avec la Fnac ?

Je viens à la rencontre du public afin de présenter « Trois vies par semaine », mon dernier livre, paru le 2 mars. L’idée est d’évoquer ce roman et tous ceux que j’ai publiés par le passé. Bien évidemment, une grande partie du temps sera dédiée aux dédicaces. J’aime beaucoup échanger avec les lecteurs !

Lors de cette soirée, un groupe jouera en live des morceaux que vous choisirez. Quelle place à la musique dans votre œuvre ?

Presque tous les titres de mes romans font référence à une chanson, le dernier bien sûr, mais également « Maman a tort », « Un avion sans elle » ou « Le temps est assassin ». On comprend alors que j’aime la chanson française ! Surtout celle des années 70 et 80 comme Alain Souchon, Renaud ou Téléphone. J’écoute également du rock de cette période, Pink Floyd, Dire Straits ou les Stones.

En tant qu’auteur normand, vous connaissez bien notre territoire. Quels liens avez-vous avec Vernon et sa région ?

Je connais très bien ce territoire. J’ai grandi à Pont-de-l’Arche et je fais toujours partie du club de tennis de table de cette ville. J’ai donc fait de nombreux matchs contre le SPN… et je continue ! Par ailleurs, Giverny est le cadre de « Nymphéas Noirs », mon premier roman à avoir rencontré le succès. Je vous conseille d’ailleurs la visite théâtralisée du village autour de mon livre qui est vraiment très bien faite ! J’aime ce territoire car il est plein de paradoxes : proche de Paris tout en étant authentiquement normand, constitué de plateaux et de vallées, avec des endroits riants et d’autres perdus. C’est un lieu double… donc idéal pour un polar !